Le printemps revient, et avec lui le ballet des faucheuses dans les prairies françaises. Mais pour beaucoup d’éleveurs, cette période signifie aussi le retour de vieux tracas : recouvrements inutiles, oublis de zones, perte de temps à recalibrer les passages, inconfort en cabine, et stress permanent.
Chaque parcelle a sa forme, ses bordures, ses contraintes. Et chaque virage trop large ou trop serré se traduit par des pertes : de carburant, de temps, et de fourrage. Sur les terrains accidentés ou les prairies irrégulières, le pilotage manuel ne suffit plus.
Et surtout, la météo ne pardonne pas. Au printemps, le moindre créneau de beau temps est précieux. Une pluie imprévue, et c’est tout le chantier qui tombe à l’eau. Il faut agir vite, très vite. Pas de place à l’improvisation : quand la fenêtre météo s’ouvre, il faut faucher juste, vite, et sans erreur.
Le stress météo est omniprésent. En quelques heures, une averse peut ruiner le potentiel fourrager d’une prairie. L’herbe versée devient difficile à sécher, perd de sa valeur alimentaire, et devient plus complexe à ramasser. Sur les foins ou les ensilages précoces, chaque minute compte.
Et ce n’est pas qu’une question de timing. Mal faucher, c’est parfois devoir repasser. Et en période météo instable, on n’a souvent pas cette deuxième chance. Un chantier bâclé pour aller plus vite ? Ce sont des bottes de moins, ou une ration moins riche pendant tout l’hiver.
Et pourtant, la fenaison est stratégique. Une fauche réussie, c’est un fourrage de meilleure qualité, une meilleure valorisation à l’ensilage ou au séchage, et un élevage plus performant. Mais combien d’éleveurs se privent encore d’une technologie qui pourrait tout changer ?
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Temps perdu : En moyenne, une fauche manuelle avec recouvrements entraîne 10 à 15 % de passages inutiles. Sur 30 hectares, cela représente plusieurs heures de travail supplémentaire. Et ce temps, on ne l’a pas toujours quand la météo presse.
Argent gaspillé : Plus de temps, c’est plus de carburant. Mais c’est aussi une usure plus rapide des matériels. Un recouvrement sur chaque aller-retour, c’est 150 à 300 euros de surcoût par fauche, à l’échelle de l’exploitation. Et s’il faut revenir sur une bande oubliée juste avant l’orage, c’est encore plus coûteux.
Stress et fatigue : L’opérateur est en alerte permanente pour suivre les traces, vérifier ses alignements, jongler entre anticipation et correction. Le confort en prend un coup, surtout sur de longues journées de fauche intensive. Quand il faut terminer 15 ha avant la pluie du soir, la fatigue nerveuse est au maximum.
Et ce n’est pas tout : Les erreurs de chevauchement peuvent créer des zones surcoupées, moins valorisables. A l’inverse, un décalage de ligne peut entraîner des oublis de bande et une repasse. Mais parfois, cette repasse n’est plus possible à cause de la pluie tombée entre-temps.
Les conséquences météo sont concrètes :
En clair, mal faucher ou faucher trop tard, c’est une qualité d’alimentation en baisse pendant toute l’année.
Et pendant ce temps, le ciel se couvre. Une journée de pluie, c’est une qualité qui baisse, un séchage compromis, voire une repasse à zéro. La pression météorologique fait de chaque minute un enjeu. Faucher juste du premier coup, c’est aussi se protéger contre l’aléa climatique.
L’autoguidage RTK (Real Time Kinematic) permet au tracteur de suivre une trajectoire précise à quelques centimètres près, grâce à un signal GPS corrigé en temps réel.
Appliqué à la fauche, cela signifie :
Le RTK libère l’opérateur de la charge mentale du guidage. Il se concentre sur les extrémités de champ, sur la qualité du travail, sur les réglages de la machine.
Résultat : une fauche plus rapide, plus homogène, plus propre.
Et surtout, une fauche faite au bon moment, dès que le créneau météo le permet, sans perdre une minute à se battre avec les lignes ou les bordures. Le tracteur trace, fauche et optimise chaque passage.
« Depuis que je suis passé au RTK avec le SVEA F100, j’ai gagné presque une demi-journée sur mes fauches à chaque fois. Et je suis moins lessivé en fin de journée. »
Marc G., éleveur dans l’Orne (61)
Quelques chiffres à retenir :
Ces gains, réalisés par des éleveurs partout en France, s’accompagnent d’une nette amélioration du confort de travail.
Et ce gain de temps, c’est parfois ce qui permet de terminer la parcelle avant que le ciel n’éclate. Le RTK devient un bouclier contre la météo, en sécurisant la qualité du chantier dès le premier passage.
Retrouvez les témoignages de nos clients équipés de l’autoguidage RTK SVEA F100, consultez notre page témoignages.
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Et surtout, un vrai réseau terrain partout en France pour intervenir rapidement. Les éleveurs qui l’ont testé ne reviennent pas en arrière.
Ne laissez pas la saison de fauche vous épuiser. Optimisez vos passages, gagnez du temps, réduisez vos coûts, améliorez votre confort.
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Oui, et c’est justement pendant les chantiers comme la fauche que chaque mètre compte. Contrairement à une idée reçue, la fauche demande autant de précision que le semis : pour ne rien oublier, ne rien recouper inutilement, et éviter les repasses sous pression météo.
Non. Le SVEA F100 est plug & play sur la grande majorité des tracteurs. L’équipe INTRAX assure le montage, le calibrage et la formation sur place ou à distance. En général, vous êtes opérationnel dans la journée.
Non. Le SVEA F100 fonctionne sans abonnement. Une fois le matériel installé, vous êtes autonome avec votre propre antenne RTK. Pas de frais cachés, pas de redevance annuelle.
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Oui, car les gains sont immédiats : moins de gasoil, moins de stress, plus de précision, et surtout une vraie capacité à intervenir vite dès qu’un créneau météo se libère. Pour un élevage, c’est un investissement à retour rapide.